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MrsLehylah, a girl waiting to be set free.

MrsLehylah, a girl waiting to be set free.
12 mai 2011

"I don't want to split the holidays,I don't want two adresses... and I don't want my mum to change her last name"

Je suis fatiguée. A vrai dire, j'en peux plus. Je veux pas avoir à choisir de camp, ni avoir à supporter ça plus longtemps. Mes parents divorcent. Pour certains, c'est une banalité, pour d'autres, c'est plus grave. Mais c'est encore pire que ça.

J'ai toujours été très proche de mon père. C'était mon modèle, mon papa poule, et j'étais un peu un garçon manqué. Je faisais tout avec lui, c'est essentiellement lui qui s'occupait de moi quand j'étais petite, et voilà, ça a toujours été mon Papa. Je peux pas imaginer aller me coucher le soir sans dire bonne nuit à mon père, je peux pas m'imaginer manger chez moi le soir sans qu'il soit là, c'est juste impossible. Quand y a rien à la télé, on se regarde un vieux film qu'il garde sur son mac pour ces occasions là, ou on se fait une session vinyls, ou il me fait découvrir des putain de musiques en faisant un blind test. Il m'apprend des tas de choses et je peux juste pas imaginer vivre dans une maison (familiale bien sûr, je vais partir un jour de chez mes parents!) où il ne vit pas. Quand j'étais toute petite j'avais une trouille bleue des cambrioleurs, mais je savais qu'il y avait mon papa pas loin, près à me protéger. Quand j'ai un truc trop important à lui dire je sais toujours que de toute façon je le verrai assez rapidement pour lui dire. Là ce sera plus possible, puisque vraisemblablement je ne le verrai qu'un week end sur deux.

Je suis beaucoup moins proche de ma mère. Elle a toujours été plus avec ma petite soeur, et du coup, on a moins de points communs. Mais elle reste ma mère, et là, elle est malheureuse comme les pierres. Que mon père couche avec quelqu'un d'autre, je pense qu'elle s'en serait remise. Mais là il est tombé "amoureux", et a plus ou moins dit que c'était de sa faute, qu'elle avait plein de défaut patati patata. On a tous des défauts. Si on trouve ceux de l'autre insupportable, on peut quand même s'en rendre compte avant les 30 ans de relations non? La voir si malheureuse, ça me brise le coeur. Mais en même temps, elle devient si excécrable que c'est des fois dur de la plaindre.

Maintenant, à la maison, tout tourne autour de ça. On ne vit plus qu'en fonction de ça. Ma soeur et moi, on essaye de pas trop faire de conneries, de boulettes pour pas que ça relance une dispute horrible où ils se balancent tout à la gueule. On peut pas choisir de camps, et on devrait pas être censées le faire.

Alors qu'est ce que je suis supposée faire? Moi en tant que grande soeur, moi en tant que fille ainée, moi en tant que moi... Je sais pas ! Et c'est bien ça le problème. Parce que je suis une "grande", les gens pensent que je vais bien (mieux?) réagir que si j'étais encore une petite fille, mais c'est tout le contraire. On m'arrache mon cadre familial que je croyais indestructible et on me fout dans une merde pas possible en me disant : "Tiens, ça maintenant c'est ta vie, débrouille toi!".

Je sais pas comment je peux faire pour sortir toute cette colère et cette tristesse que je garde au fond pour pas exploser devant eux. HELP!

 


 

Maybe one day, I'll figure it out. For the moment, it's juste really hard for me to believe in anything or to trust anyone. I DON'T WANT MY WHOLE WORLD TO FALL APART.

"Every single day, seems like a mountain to climb, every single word it takes all my strenght to get it out"

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1 avril 2011

I'm exactly where I'm supposed to be now.

L'eau a coulé sous les pont, et je suis toujours cette tête de mûle, incapable de prendre des décisions concrètes, et incapable de se décider pour un garçon en particulier. Depuis la dernière fois, où tout venait de se finir, j'ai plus ou moins fréquenté quelqu'un, que j'ai tout fait pour faire fuire comme d'habitude. Mon excuse cette fois-ci ? Il était trop parfait : 1m90 environ, brun, très beau goss (du genre à faire tourner la tête de beaucoup de filles!) et interessé par moi. Et moi, j'ai pas répondu à ses coups de fil, à ses textos, et j'étais à peine présente dans la conversation quand il me parlait. Il était parfait certes, mais j'avais toujours mon cher rugbyman dans la tête.

Aujourd'hui il en est finalement sorti pour de bon (enfin je crois). Je n'ai pas pour autant trouvé une autre cible (enfin, il y a toujours mon cher ami, avec qui, un jour ou l'autre, ça se passera, mais vraisemblablement pas tout de suite), je me laisse juste porter par le courant.

Et le fait de ne plus penser à ma vie sentimentale, m'a permis de me concentrer sur mes études. Et là, forcément, tout le monde se dit "Wahou, elle s'est remise à travailler !". Mais non, c'est tout l'inverse. J'ai beaucoup réfléchi, même énormément. Je me suis pris la tête toute seule, pendant des heures, à m'en donner la migraine. Et finalement, au bout de mes réflexions, la lumière au fond du tunnel : j'ai trouvé la vérité. Enfin, ma vérité. Je suis sûre maintenant, que médecine c'est pas pour moi. Bien sur, ça aurait été un métier qui m'aurait beaucoup interessé dans d'autres circonstances, si je n'avais pas eu de passion. Mais malheureusement, ma passion, je suis tombée dedans quand j'étais toute petite, et impossible de m'en sortir. J'ai trouvé pourquoi j'étais malheureuse à cause de médecine, j'ai trouvé pourquoi je suis tombée en dépression, j'ai trouvée pourquoi pendant le mois de révision, au moment crucial, j'ai arrêté de travailler. C'était mon inconscient qui essayait de me faire passer un message. Et j'ai fini par le décrypter : je ne veux pas faire médecine. J'ai passé mon temps à me convaincre que c'était ce que je voulais, mais pas du tout.

Je veux, et j'ai toujours voulu devenir chanteuse. Mon rêve a toujours été de faire mes études dans la musique, mais j'ai toujours eu peur de ne pas m'en sortir, et de ne jamais arriver à joindre les deux bouts. Mais maintenant j'ai confiance. Je sais que quoi qu'il arrive je m'en sortirai, parce que je vais me donner à fond, parce que c'est mon rêve depuis toute petite, parce que c'est moi, la vraie moi.

En ce moment, je me renseigne autour de moi. Je suis allée voir au conservatoire, mon ancienne prof de chant, je vais rencontrer la soeur de mon meilleur pote qui est au Conservatoire de Paris, ainsi qu'une amie d'une amie qui y est aussi. Je vais retourner voir ma prof de chant particulière pour lui parler de mon projet fou, de cette petite idée qui a germé dans ma tête : je veux tenter le concours d'entrée au conservatoire de Paris. Je sais que j'en ai les capacités, il me faut juste de l'entrainement et de la confiance en moi.

Mon plan pour l'instant, c'est de rentrer au conservatoire de ma ville dans la classe de chant (très réputée par ailleurs) et de me préparer pendant un an, avant de tenter le Cons'. La question est : qu'est ce que je fais en attendant ?

Je peux pas refaire une année de médecine, c'est hors de question. Je peux pas ne rien faire, ça c'est encore plus mort. Travailler pour me faire de l'argent peut être ? Jamais mes parents voudront. Alors je me suis dit qu'éventuellement faire une licence de musique, ou une école de musicologie ce serait pas mal. Bref, il faut encore que je me renseigne, j'ai quelques mois pour ça.

J'ai peur oui, je suis terrorisée à l'idée de me lancer dans l'inconnu. Mais j'ai confiance en moi, et en l'avenir, parce que je sais que c'est la bonne décision, et que c'est ce que je dois faire pour être heureuse.

Alors.. C'est parti !


"So I will be strong, no I won't give up. Sooner than it seems, life turns around."

15 février 2011

"And I know it's only in my mind, that I'm talking to myself and not to him"

Eh oui, c'est fini ! J'avais raison, comme toujours : l'amour n'existe pas alors à quoi bon lui donner une chance ? C'est lui qui m'a poussé à m'accrocher, à m'attacher et pour quoi ? Pour finalement me laisser seule de nouveau, un mois après. J'ai beau leur dire à ces garçons que je ne veux pas m'attacher, que je suis pas faite pour être en couple, ils ne veulent que plus me prouver que si, c'est possible et patati et patata. En fait, la prochaine fois je jouerai celle qui s'attache grave vite, du genre à dire je t'aime au bout de deux jours, et j'aurais peut-être plus de chances de le faire fuir au final.
Mais je suis pas comme ça. Je fantasme, jusqu'au moment où le fantasme s'accomplit et là, je ne veux pas pousser la chance plus loin, je préfère me retirer. Je ne dis rien, je laisse les choses aller comme elles le doivent mais c'est là que les mecs ont envie de me voir plus attachée, plus enjouée, je sais pas ! Ils ont besoin d'une fille à protéger, mais j'ai pas besoin d'être protégée moi, je suis très bien tte seule !
Je suis pas le style de fille à dire je t'aime à mon copain. Je suis pas le style de fille à montrer mon attachement tout court. C'est pas qu'il existe pas, c'est juste que de pas le dire ou même de pas le penser, ça rend la chose moins réelle et du coup, plus supportable quand la fameuse "claque-dans-ta-gueule" arrive. Quand c'est fini, je passe pas mon temps à ressasser à quel point c'était bien avant, avec lui. Non, je passe à autre chose ou plutôt à quelqu'un d'autre.

On revient au point de départ. On prend le même et on recommence. Sauf que moi entre temps j'ai vécu, et pas lui. Dès que je suis de nouveau célibataire, c'est la même chose. IL revient, IL me regarde de nouveau comme si j'avais disparu pendant quelques temps et qu'IL était heureux de me retrouver.


Je ne comprends même pas comment c'est possible que deux personnes comme lui et moi, on puisse pas franchir le pas et vivre notre truc. Peut-être qu'il a raison, peut-être que le vivre changerait tout. Mais quand il est à l'autre bout de la pièce et qu'il me regarde comme il le fait souvent, c'est pas possible de résister. J'aimerais pouvoir lui sauter dessus, et l'embrasser, encore&encore. Parce que c'est LUI, parce que c'est moi, et parce que malgré tout ce qu'il peut dire, ça arrivera un jour où l'autre. Cette alchimie, on la retrouve pas souvent dans une vie.
Ce désir, cette envie, cette sensation de bien être.

Mais l'amour n'existe pas, j'en suis sûr. En tt cas, il faudrait le vivre pour le croire...


J'ai cette capacité affolante à faire de ma vie quelque chose d'intéressante. C'est fou, mais au final, c'est quand même qu'une vie minable d'adolescente alcoolique, droguée et déprimée. :)

9 février 2011

Natasha Bedingfield - Pocketful of Sunshine

I got a pocket,

got a pocket full of sunshine

I got a love that knows that it's all mine
oh.oh,oh

Do what you want,
but you never gonna break me,
sticks and stone are never gonna shake me
oh,oh,oh


Take me away (take me away)
A secret place (a secret place)
A sweet escape (a sweet escape)
Take me away (take me away)
Take me away (take me away
To better days (to better days)
Take me away (take me away)
A hiding place (a hiding place)


I got pocket,

Got a pocket full of sunshine
I got a love that knows that it's all mine
oh,oh,oh


Wish that you could,
but you ain't gonna own me
do anything you can to control me
oh,oh,oh


There's a place that I go
That nobody knows
Where the rivers flow
And I call it home
And there's no more lies
And darkness is light
And nobody cries
there's only butterflies


The sun's on my side
Take me for a ride
I smile up to the sky
I know I'll be alright



I really wish I was Olive Penderghast right now.

6 février 2011

"I've got my boyfriend, but he's so tired of listening to me"

I really think it's over.
What a shame right ?



I'm such a fool
.

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20 janvier 2011

"Then, I guess, I'll just begin again"

C'est passé. Oui, le concours est passé, les résultats sont tombés, et j'ai survécu. Survécu parce qu'il faut bien. Mais en vrai, j'ai explosé intérieurement. Parce que mon classement est pas tip-top et surtout parce que le classement de certains autres est beaucoup mieux. Je suis jalouse ! La jalousie est un vilain défaut et est sûrement le plus gros que je possède.
L'ambiance a été horrible à la fac ces derniers jours. On a vu des gens en larmes, des gens se battre, des gens se renfermer sur eux même, des gens boire à deux heures de l'après-midi et vomir dans l'amphi, des gens disparaître et d'autres, trop fiers d'eux, se pavaner dans les couloirs comme si c'étaient les rois du monde.
Moi, je me fais toute petite et je trace ma route. Et quand quelqu'un me pose la question fatidique, je ne dis rien. J'ai mon petit haussement d'épaule tout préparé, et je passe à autre chose.
Bizarrement, j'aurais quand même cru être plus affecté par les résultats que ça. Je suis tout de même calme, et je n'irai pas jusqu'à dire confiante, mais sereine quant à l'avenir. Je fais mon maximum et si je l'ai, tant mieux, et si je l'ai pas, tant pis. Je l'aurai en majore la deuxième année. Ce ne sera que rattraper mon an d'avance.
Si je suis sereine, je pense que c'est aussi grâce à lui. J'ai l'impression de me répéter quant à sa perfection, mais oui, je le pense vraiment. Après ce qui c'est passé, j'aurais pas cru revivre ça aussi rapidement.
Mais j'ai peur aussi : pas envie de souffrir, pas envie de me retrouver comme la dernière fois. J'ai beau être enjouée, quand ça va pas, ça va pas. Et plus on tombe de haut, plus on se fait mal hein ? Et être à ce point là déchirée, je pensais pas que c'était possible. Alors pas encore, je ne veux pas. Sûrement pour me protéger, je me force à ne pas me laisser trop emporter. Mais maintenant, j'ai du mal à maintenir la barrière dans ma tête, et ça manque de s'écrouler pour laisser déverser toute ma sentimentalité que je ne cautionne pas. Je n'ai pas envie d'être une de ces midinettes, qui ont la larme facile, qui regardent leur amoureux avec des yeux morts d'amour, qui disent "je t'aime" à la moindre occasion. Je ne suis pas comme ça, mais en même temps, je suis tellement comme ça. Je l'ai tellement été par le passé, que je me suis forgée une carapace, qui, pour mon grand malheur est en train de se fissurer. Et tout ça, c'est de sa faute à lui. Je sais pas s'il se rend compte de ce qui se passe dans ma tête. De toute cette confusion, mais à la fois à quel point je m'en fous pas ! A quel point je suis attachée à lui, à quel point j'ai besoin de lui... Je ne pense pas.
J'en ai fait des efforts, pour en avoir fait, j'en ai fait. Je ne suis pas une fille qui se bat pour ce qu'elle ressent, ou même qui laisse paraître ce qu'elle ressent. Mais ça, c'est habituellement. Lui, il a changé toutes les règles du jeu, et il m'a forcé à me battre pour lui. A lui avouer une partie de mon histoire, à lui avouer que j'avais besoin de lui, que je ne m'en foutais pas d'être avec lui ou non. Mais je ne crois pas qu'il ait comprit la mesure de mes paroles. Je n'aurais jamais dit ça si je ne le pensais pas vraiment, si je n'avais pas ressenti au plus profond de moi même que c'était le moment où jamais de tout faire pour le garder.
Sinon, je l'aurais laissé partir. Mais il y avait cette petite voix qui me disait que j'allais le regretter. Alors j'ai fait ce que je n'aurai jamais fait en temps habituel, j'ai changé la ligne de conduite.
On ne peut pas dire que je le regrette, parce que c'est magnifique ce qui m'arrive, et j'ai l'impression que si je fais ce qu'il faut, il se pourrait que ça marche. Je ne regrette pas, non, mais j'ai peur. Peur pour la fissure qui s'était refermée, et qui pourrait se rouvrir, si je fais pas gaffe.
En même temps, vivre dans la peur, c'est pas comme si j'avais pas l'habitude.


"You know, some people live in the fear of everything. But if you try to just live the day, then you'll survive."
Maybe it's just what I have to do. Live without asking myself questions I don't have the answers to.
The only thing I know, is that I hope (and in the deep of my heart) that he's THE exception.

Stupid kid.

28 décembre 2010

Je ne veux pas travailler, je ne veux pas déjeuner, je veux seulement oublier, et puis, je, fume.

OUI. Je l'avoue, je le clame haut et fort. Je pète un câble. Je suis devenue totalement bipolaire, cyclothymique, lunatique. Je suis quelqu'un d'heureux, vraiment. Mais là, ça me prend comme ça, je me lève et ça va pas. Je ne peux rien faire. Ni bouger, ni travailler, ni dormir, ni rien. Je peux seulement me poser dans mon lit et laisser mon esprit vagabonder ou pire encore, mettre mon cerveau en mode Off et légumer devant la télé.
Je n'ai pas envie de travailler. Mais alors pas du tout. Au diable la biochimie et la chimie, au diable la biocell, au diable diable la physique !! Marre marre marre.
J'aurais juste envie de pouvoir me dire "tiens, je suis en vacances, je n'ai rien à faire." Plutôt que de savoir que l'échéance approche, que le concours est là, que je vais me retrouver incapable devant ma feuille. Mais il faudrait travailler pour être capable, or je n'ai pas envie de travailler, donc je serai incapable, ce qui me fait flipper, et j'ai encore moins envie de travailler. Cercle vicieux.
Je doute toujours de ma destinée ou non pour la médecine. Est-ce que finalement, je suis quelqu'un destinée uniquement à la musique ? Impossible d'en être sure malheureusement.
J'en ai marre. Trop de trucs tournent dans ma tête sans jamais vouloir s'arrêter. J'ai trop de problème, trop de problème, et aucune solution.
Heureusement qu'il est là lui, il me donne la pêche, le sourire, et arrive même à me faire rire. Quand je suis avec lui, y a pas de problème la vie est belle. Mais le problème c'est que je ne travaille pas non plus. Et donc ça ne sert à rien que j'aille bien si c'est pas pour travailler. Enfin si, à aller bien..
Tous ces gens qui comptent sur moi, tous ces gens qui n'arrêtent pas de me répéter que je l'aurai quoi qu'il arrive, tous ces gens qui sont si heureux que je fasse médecine... Comment je peux leur dire que je suis pas sur d'être Docteur David ? Comment je peux leur dire que peut être que c'est pas ma voie...?
Je tourne en rond, ça ne me mène à rien.


On vous a déjà dit que vous aviez une tête de mule ?

22 novembre 2010

Such a perfect day, the day I'm spending with you. Oh such a perfect day, you just keep me hanging on.

Lettre sans envoi :
Je suis comme toi, je suis pas quelqu'un qui dit les choses. D'ailleurs je les dirai pas vu que je les écris sur ce putain de blog. Et même si jamais j'arrivais à te le dire, je ne rechercherai rien, ce serait juste pour être honnête avec toi et avec moi-même, pour une fois.
Samedi soir.. Such a perfect night. Je me suis sentie tellement bien si tu savais.. Je me sentais protégée, je me sentais belle, bref je me sentais magnifiquement bien. Et quand tu m'as dit que je n'étais qu'une pote, j'ai pas réagis. J'ai pas réagis parce que dans ma tête, oui, tu es un pote aussi. Ce qui aurait du faire tilt, c'est que certes tu es un pote, mais tu pourrais être tellement plus.
J'ai beaucoup réfléchi après, j'ai essayé de me convaincre que c'était pas plus mal de te garder en tant qu'ami, que de toute façon j'avais eu mon moment et que c'était un bon souvenir et qu'on en restait là. Mais je peux pas m'empêcher de vouloir t'embrasser quand je pense à toi, je peux pas m'empêcher de penser toujours à toi, je peux pas m'empêcher d'imaginer ce que ce serait si sous ce pont tu m'avais dit qu'en fait j'étais beaucoup plus pour toi.
Je pète totalement un câble, c'est clair. Mais je veux plus rien. Plus rien de toi à part ton amitié. Parce que j'ai pas l'habitude de me battre pour avoir quelqu'un, que je sais même pas comment faire, et que j'aurai toujours l'impression de t'avoir forcé la main. Mais en fait si, je veux tout. Je veux tes bisous, tes câlins, tes regards et tes sourires. Je veux te prendre la main, je veux t'embrasser, je veux montrer à tout le monde que tu es à moi. Mais c'est pas le cas. Et ce le sera pas de si tôt.
J'ai tellement envie de te dire ça, envie que tu saches et que (peut-être) tu réalises que de ton côté c'est pareil. Mais j'ai pas les couilles. Et même si je les avais, j'enjoliverai les choses : je dirais juste que je me suis rendue compte de mon attirance que ce soir, je dirais juste que je veux ton amitié, y a pas de soucis, je dirais juste que si je te le dis, c'est surtout pour remonter ton estime pour toi. Et ça n'aurait aucun impact forcément.
Je pète un câble, je pète un câble. Ne pouvoir en parler à personne, et te voir tous les jours comme si de rien était.. Mais comment je vais faire ? J'ai pas envie de pleurer, plutôt envie de me retrancher en ermite dans ma chambre devant des films et de plus bouger.
Tu es tellement mieux que tous ces bellâtres de la fac, tellement mieux que tes potes que tu admires tant, tellement mieux que tous. Tu es beau, tu as un charme fou, et ce petit côté décalé qui te rend si différent des autres.



Y a des jours comme ça.. BAM ! Dans ta gueule.

15 novembre 2010

Oh love.. I'll be a fool for you.




COMMENT EST CE POSSIBLE D'ETRE AUSSI BEAU BORDEL DE MERDE ?






Avec ces yeux de biches, mon ange, c'est où tu veux, quand tu veux.

7 novembre 2010

Wake me up, before you go go.

C'est fou comme les choses peuvent changer en peu de temps. J'étais à fond sur le beautiful man sitting next to me in class, et là, PAF. Une rencontre. Je dis pas que ça va changer ma vie, puisque à la base c'est une rencontre. Mais justement, se rendre compte (OULALA jeu de moot !) qu'il n'y a pas que the one sur terre, je trouve ça pas mal. Et quand un autre beautiful man, t'accostes et lui, est à fond sur toi, ça fait franchement du bien. On passe du stade "je suis moche, j'en ai marre d'être célib et (oupas) de la vie" à "Putain, je me sens bien dans ma peau, fais moi l'amour". Alors je kiff. Tout en étant un peu coupable, de ce revirement si soudain. Après tout, je casse les couilles de tout le monde avec S., pour au final rencontrer C., et changer totalement de cap. Je suis peut être une bitch mais après tout, who cares ? BREF. Je raconte ma vie (mais en même temps, c'est mon blog donc normal ! ) C. est beau, intelligent, marrant, sympa, musicien, attentif&attentioné... Il remplit tous les critères. Alors si j'arrêtais un peu de réfléchir, et que je me laissais aller ? On va faire ça. Attention, me voilà ! (Et le travail dans tout ça me direz vous? Et je vous répondrai : WHO FUCKING CARES ?)



Don't stop believing.

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